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LES PARENTS DOIVENT ASSUMER LEUR RESPONSABILITÉ DE PÈRES D'ÉTUDIANTES
Je voudrais inviter nos parents à suivre de près les filles qu'ils envoient à l'Université. Plusieurs, puisque, n'arrivant plus à subvenir à leurs besoins normalement, se retrouvent dans l'option de s'adonner à de vils comportements. C'est vrai qu'il y en a qui le font par plaisir ou par ambitions démesurées. Mais un nombre important de filles sont obligées de prendre certaines décisions dans le seul but de pouvoir subvenir à leurs besoins, c'est une triste réalité, elles le font juste pour cela et ça devient une habitude ! 𝑆𝑖 𝑛𝑜𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑚𝑢𝑚 𝑛𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑖𝑙 𝑣𝑎𝑢𝑡 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒𝑠. Laissez vos filles au village ou envoyez-les à l'université tout en assumant le minimum de leur cursus. Certains parents le font sciemment, d'autres par manque de moyen peut-être, dans les deux cas, vous devez savoir combien vous exposez vos enfants. C'est pareil chez les garçons aussi, qui forment ce chapelet de délinquants sociaux (cybercriminels, voleurs, cambrioleurs) et on ne les en voudra pas. Je n'encourage pas ces actes non plus. Force à toutes ces filles, qui malgré les conditions difficiles estudiantines, se débrouillent par des décisions nobles pour subvenir à leurs besoins et qui ne s'adonnent pas à la prostitution ou à des mesures débiles.
On dira que c'est la paresse qui cause cela, on laisse l'enfant à son propre sort qu'il en fait en une vie de débauche et délits. Ce qui est mauvais, c'est qu'on traite cette même jeunesse qu'on s'est forcé à forger d'une jeunesse de tous les délits, lui inculpant ainsi toute la responsabilité. Nous devons nous assurer de corriger les tares de base afin de constituer une société paisible !
𝗨𝗻𝗲 𝘀𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿 𝗲𝘅𝗲𝗺𝗽𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗮𝘀𝘀𝗲𝘀 𝗱'𝗲𝘅𝗮𝗺𝗲𝗻𝘀 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗿𝗲́𝘀𝗼𝘂𝗱𝗿𝗲 𝗰𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗹𝗲̀𝗺𝗲. 𝗜𝗹𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁, 𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝘁𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗲𝗿𝗮 𝗷𝗼𝘂𝗲́. 𝗠𝗲𝗿𝗰𝗶 𝗮̀ 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗼𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗿𝗶𝘀 𝗹'𝗲𝗻𝗷𝗲𝘂 𝗲𝘁 𝗾𝘂𝗶 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗹𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝗺𝘂𝗺 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘀𝘂𝗯𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗮̀ 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗻𝘂𝘁𝗿𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝘀 𝘀𝘂𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁 !
𝐁𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐀𝐇𝐎𝐒𝐒𝐀, 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞 𝐀𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐬𝐭𝐞
Ils font tout de leur mieux pour enterrer plus les éducations nationales et il ne faudra pas en parler !
Nos éducations nationales sont malades, elles souffrent d'une maladie qui, si rien n'est fait, sera bientôt incurable. Le système est conçu avec la seule préoccupation d'envoyer tout le monde à l'école. On pourrait être d'accord avec cette volonté. Dans certaines contrées, pour des questions de manque de ressources, on se permet de ne pas mettre à la disposition des apprenants, des infrastructures adéquates et des enseignants qualifiés, pendant que ce même État investit dans dans des conneries ! On voudrait bien l'accessibilité en faisant des sensibilisations pour inviter les couches vulnérables à aller massivement à l'école ! Mais on se fout éperdument de ce qu'elles pourraient devenir. Parce que la notion d'adaptabilité n'a aucun sens dans nos éducations nationales. On enseigne toujours dans nos écoles, collèges et universités des disciplines dont le besoin ne sent pas à l'époque et qui n'ont aucun rapport avec nos réalités. Vous êtes d'accord avec moi que ce sera terrible d'étudier une filière dont votre communauté a besoin le moins. Vous aurez à chômer. Ça devient si difficile quand les parents qui vous ont envoyés à l'école, se rendent compte qu'à la fin, vous n'êtes pas capables de subvenir à vos propres besoins, pour leur venir en l'aide. C'est beaucoup vilain quand on sait le coût de l'éducation dans nos pays à partir de certains degrés avec un chapelet de faux frais dont on ne peut jamais imaginer à quoi cela sert concrètement. C'est triste de dépenser à chaque instant du temps dans notre formation pour des résultats désespérés. On ne le sait pas, ou on essaie de l'ignorer, ces ratées sont la base palpable des citoyens qui deviennent des cas sociaux dans la société. Je ne voudrais pas parler de la cybercriminalité, de la prostitution, du vol, du banditisme et j'en passe. C'est le fruit de notre éducation nationale. Nous essayons à tout prix de ridiculiser l'éducation et ça fait beaucoup de peine pour un pays qui voudrait un développement digne du nom.
Il est impératif de revoir ce système. Parce que si nous le faisons pas, nous courrons vers une perte effroyable, et c'est déjà proche.
Brice Ahossa
FAIS TA COURSE À TON RYTHME !
Ce SOIR, je pense à toutes ces personnes qui se sentent en retard, écrasées par le poids des comparaisons, angoissées par cette société qui associe l’ÂGE à la RÉUSSITE comme si c’était une course chronométrée. 18 ans, le Bac. 23 ans, le Master. 25 ans, un job stable. 30 ans, une maison. 35 ans, une famille. Et si ça ne suit pas ce schéma ? L’ANGOISSE. La PRESSION. L’impression d’être en retard sur une vie qui, pourtant, ne devrait appartenir qu’à TOI.
Mais QUI a écrit ces règles ? QUI a décidé qu’il fallait réussir AVANT 25 ANS sinon c’est trop tard ? Associer l’ÂGE à la RÉUSSITE a conduit tant de personnes à la DÉPRESSION, à l’AUTO-SABOTAGE, au MÉPRIS de soi. À regarder les autres avancer et à se sentir NUL, INCAPABLE, PERDU. Pourtant, la VÉRITÉ, c’est que chacun a son RYTHME. Chacun a son HISTOIRE. Il y a ceux qui réussissent JEUNES, et ceux qui explosent à 40 ANS. Il y a ceux qui trouvent leur voie TÔT, et ceux qui tâtonnent avant d’arriver à DESTINATION. Il y a ceux qui avancent VITE, et ceux qui prennent le temps de COMPRENDRE.
La VIE n’est pas une COURSE. Ce n’est pas une ligne droite avec une seule arrivée. C’est un CHEMIN, parfois long, parfois sinueux, parfois plein de DÉTOURS. Ce qui compte, ce n’est pas QUAND tu y arrives, mais QUE tu y arrives à ton moment, quand ce sera JUSTE pour toi.
Alors si aujourd’hui tu as l’impression d’être en RETARD, je te le dis : tu ne l’es PAS. Fais ta COURSE à ton RYTHME. Ne laisse pas les AUTRES te dicter ton TEMPS. N’abandonne pas juste parce que ton HEURE n’est pas encore venue. Elle VIENDRA. Sois PATIENT avec toi-même.
Parce que le SUCCÈS, ce n’est pas une question d’ÂGE. C’est une question de PERSÉVÉRANCE.
N'oublie pas, FAIS TA COURSE À TON RYTHME !
Brice Ahossa.